Max-Alain Gradel a donné une interview au "Point Afrique". Extraits. Max, avez-vous le souvenir d'avoir marqué en sélection deux buts aussi importants et aussi rapprochés ? Max-Alain Gradel : Non, c'est une première dans ma carrière, et je me réjouis d'avoir aidé les Éléphants à se qualifier pour les quarts de finale de cette CAN. J'avais déjà été décisif avec la sélection en qualifications de CAN, mais je n'avais jamais marqué deux fois de suite comme ça dans un tournoi majeur. Vos deux buts face au Mali (1-1) et au Cameroun (1-0) ont été inscrits au Nuevo Estadio de Malabo. C'est devenu votre jardin ? (Il rigole.) Non, on ne peut pas dire que ce stade soit mon jardin. Je le découvre, je n'avais jamais joué en Guinée équatoriale . Mais j'y ai de bonnes sensations et j'ai vécu de belles émotions. Justement, racontez-nous votre dernier but, fantastique, contre le Cameroun. Cette superbe frappe de 25 mètres qui libère et qualifie votre équipe pour les quarts de finale... C'est un très joli but. J'ai les jambes, je suis en pleine confiance. Je ne me suis donc pas posé de questions au moment d'armer ma frappe. C'est un but qui compte, car il nous rapporte la qualification. Un but qui m'a procuré une joie immense, une grande émotion, car c'était un vrai derby du continent africain. Et qu'il ne faut pas oublier qu'on avait perdu 4-1 à Yaoundé face au Cameroun lors de la phase éliminatoire de cette CAN. Une défaite que l'on n'a jamais digérée. Lire l'interview dans son intégralité.
Par Eric le dimanche 01 février 2015 à 12h32.